19 AUGUST 1905, Page 15

[TO THE EDITOR OF THE "SPECTATOR."]

SIR,—The prevailing entente cordiale recalls many sentiments expressed in past days by our neighbours towards ourselves. May I bring to recollection a remark of Mlle. Julie de Lespinasse, who is too well known to need any introduction ? She writes :—" Pour moi, faible et malheureuse creature que je suis, si j'avais renaltre, j'aimerais mieux etre le dernier niembre de in chambre des communes que d'être meme le roi de Prusse : il n'y a que la gloire de Voltaire qui pourrait me consoler de n'etre pas nee Anglaise."—I am, Sir, &c.,

A. G. T.