FRANCE AND ENGLAND.
go THE EDITOR OF THE "SPECTATOR."] SIB,—With reference to your article in the Spectator of February 2nd under the above beading, it may be of interest to quote from a letter which I received a fortnight ago from a French friend of mine,—a man of considerable reputation in literature and other departments of learning. Replying to a
letter of my own, he says :-
" Votre lettre m'a profondement touché, en me pronvant qu'en depit des efforts tenths par des artisans de haine et de guerre pour amener la discorde entre I'Angleterre et la France, vous ayes compris que Cdlite, et j'ose Bien ajouter la majorito des vrais r4aliticains de notre pays est pour ('entente et Teatime mutuelle. La point essentiel, c'est de ne jamais confondre une nation touts
entire avec son gouvernement, on avec tin parti de politiques amhitieux. Ai-je beboin de vous dire que je suis de cc= qui aiment la nation anglaise pour sea belles et nobles qualites et que, par consequent, j'ai toujours essays de dissiper les prejuges contraires. C'est vous dire que je prends une part sincere al is douleur quo vous cause Is mort de S.M. la reine Victoria ; je com- prends quel attachement loyal elle inspirait a son peuple et je me souviens de la bienveillance qu'elle temoigna a notre pays en plusieurs circoustances, heureuses ou malheureuses."
I have the permission of the gentleman in question to publish his words, though they were written without any idea that I should desire to make such a use of them.—I am, Sir, &c., H. M. S.