2 SEPTEMBER 1916, Page 13

CAG.LIOSTRO ON THE WAR.

ITO THE EDITOR OP THE " SPECTATOR"]

Sm,—In these days when our thoughts are centred on our huge arma. ments the following quotation from Dumas, Le Collier de in Reine, chap. ii., may perhaps amuse your readers :-

"' C'est vrai, monsieur,' dit Cagliostro en souriant, ' la deroute de Crecy lot une chose terrible en ce que ce fut non-seulement une armee, mail la France qui fut battue. Mais aussi, convenons-en, cette deroute ne fut pas une viotoire tout-h-fait loyale de la part do l'Angleterre. Le roi Edouard avait des canons, circonstance parfaitement ignore° de Philippe de Valois, ou pluttSt circonstance k laquelle Philippe de Valois n'ttvait pas voulu crone, quoique je Fen eusse prevenu, quoique je lui eusse dit que de mes yeux j' avais vu ces quatre pieces d'artillerie qu'Edouard avait achetees des Venitien.s."

If Cagliostro condemned Edward III. for not " playing the game " in that he surprised his foe by the use of four pieces of artillery, what would this sorcerer have said, we wonder, to the fiendish surprises of the Hun—liquid fire, poisonous gas, Ste. —sprung upon our armies in the present conflict /—I am, Sir, &c., G. M. SPORRELL.