4 DECEMBER 1926, Page 13

[To the Editor of the SPECTATOR.] MONSIEUR L'EnrrEua,—Appartenant is la

religion appelee en Angleterre " Roman Catholic " j'ai pris le plus grand interet dims tout ce qui a etc public dernibrement sur le divorce, &c., y pensant serieusement, cela m'a procure un rive repondant is la conclusion indefinie arrivee bur ce sujet par beaucoup de lecteura.

Je suis veuve depuis bien des annees, mais, dates mon rove, mon marl etait de nouveau ici-bas, et nous sommes idles a l'eglise, ou nous aeons recu le sacrement de mariage. Dans un rove, on voyage vite, et je ne me rappelle rien de plus jusqu'it l'apres-midi du jour suivant, ou nous etions dans une grande piece, entoures de beaucoup d'amis. Soudainement, mon mari dit " puffs que nous partons en voyage shot, c'est mieux d'aller nous marier tout-de-suite." " Mais," dis-je " jc croyais que nous avions etc manes bier " ; it repondit, " Pent- etre, mais on en n'est jamais Recevez, Monsieur l'Editeur, l'expression de mes sentiments tres distingues.—I am, Sir, &c.,